11 avril 2009

Course aux boudins/saucissons


En sport, vous avez les épreuves internationales renommées (Tour de France, JO, etc.), les épreuves nationales réputées/populaires (20 km de BXL), les épreuves régionales et puis, tout en bas sur l'échelle de la renommée/popularité, les courses de kermesses.

C'est bien connu du monde cycliste où une course de kermesse s'assimile à un circuit autour du clocher du village à parcourir plusieurs fois.

En triathlon, une épreuve de kermesse correspond à une course où :
- les infrastructures d'accueil sont limitées (Au fond d'une salle de sport où se prépare un autre événement (une démonstration de karaté par exemple))
- Les formalités administratives sont oubliées (contrôle licence, etc.)
- le parc à vélo est constitué de barrière nadar où tout le monde se place où il veut sans contrôle aucun.
- Le circuit vélo n'est pas fermé à la circulation
- Il y a peu(voire pas) de signaleurs.

Bref, c'est bon enfant, on ne se prend pas le chou, ça ressemble plus à une réunion informelle de triathlète.
On appelle ça une course aux saucissons.
Le triathlon de Fleurus émarge à cette catégorie d'épreuve.
Il n'y aurait pas le prix (15 EUR), ce serait nickel. (Surtout qu'on ne reçoit rien. Même pas le traditionnel t-shirt)

Tant qu' à parler de bidoche, je constate que ma ceinture abdominale, elle, continue à être un peu boudinée.
Ca se traduit par un excès de poids qui explique peut-être le chrono vélo de m... effectué (On trouve les excuses qu'on peut).
En comparant avec ma perf' d'il y a 5 ans, je mets 1'00 de plus pour le même parcours (Par contre, je nage et cours plus vite).
Conclusion : depuis un an, ça n'arrête pas de se confirmer, j'ai perdu mes qualités cyclistes. Faudra que j'envisage sérieusement une autre approche pour y remédier.

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